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Ilétait une fois dans l’Ouest constitue le premier volet d’une trilogie complétée par Il était une fois la révolution et Il était une fois en Amérique. Le film, qui fêtera ses 50 ans l'année prochaine, est proposé en écho à la rétrospective et l'exposition consacrées à Sergio Leone par La Cinémathèque Française à partir du 10 octobre 2018. Cette restauration fut Pouvezvous regarder Il était une fois dans l’Ouest sur un service de streaming ? Nous comparons Disney+, Netflix et Amazon Prime Video pour vous montrer le meilleur endroit où regarder Il était une fois dans l’Ouest. Trouvez où regarder votre film préféré Il était une fois dans l’Ouest aujourd’hui en streaming avec un essai gratuit. Parquel bout prendre Il était une fois dans l’Ouest ? Véritablement une balise dans l’Histoire du cinéma, tant par son ambition que par son impact, y compris en dehors du cercle des amateurs de cinéma. Le film a été tourné en 1968, et il est sorti dans la plupart des pays l’année suivante. 1969 ne s’est donc pas contenté d Synopsisdu film « Il était une fois dans l’Ouest » Dans l’Ouest américain, Morton, un responsable de la construction du chemin de fer fait assassiner un propriétaire terrien et tente ensuite de séduire sa veuve. Le frère du défunt, bien décidé à venger sa mort, arrive bientôt en ville. Cet énigmatique pistolero va venir contrecarrer les plans du perfide Morton et Le10 novembre, Claudia Cardinale viendra présenter elle-même la séance d'Il était une fois dans l'Ouest à la Cinémathèque française. C'est ce Ou Faire Des Rencontres A Lyon. Il était une fois dans l’Ouest fait partie des films entrés durablement dans la légende du cinéma tout court. Western dit spaghetti » réalisé par Sergio Leone, c’est un chef d’œuvre contemplatif, lent et magnifique qui raconte, au-delà d’une histoire personnelle de vengeance, un bout de l’histoire des États-Unis. Mais par ce grand film, Sergio Leone donnait aussi le coup de grâce au genre du western qui était déjà mal au point. Le film est ressorti récemment dans une version restaurée l’occasion idéale pour revoir ce classique sur un grand écran. Comme tous les westerns, Il était une fois dans l’ouest se déroule au XIXe siècle dans les plaines du Grand Ouest américain. Le film de Sergio Leone ne précise ni la date, ni le lieu, mais ce n’est pas nécessaire quand le film sort, en 1969, le western est un genre ancien entré dans les grands genres du cinéma et qui ne nécessite pas d’explications. Les paysages filmés par le réalisateur suffisent, en particulier la Monument Valley identifiée au genre par John Ford, tandis que les chapeaux et les colts campent immédiatement des cow-boys archétypiques. L’histoire du film est également très classique. Ses deux histoires plutôt puisque Il était une fois dans l’ouest suit deux intrigues en parallèle, l’une centrée sur la vengeance d’un mystérieux cow-boy bon joueur d’harmonica et tireur hors pair, l’autre évoquant la construction du chemin de fer et donc la seconde conquête de l’Ouest après celle des pionniers. Ces deux histoires sont liées par Franck, cow-boy sombre qui travaille dans l’ombre d’un riche entrepreneur qui fait construire le chemin de fer et a besoin d’un assistant pour éliminer tous les problèmes qui pourraient se dresser devant les voies du chemin de fer. Les deux histoires s’entrecroisent, mais le récit se fait avare en explications et ces dernières n’arrivent de toute façon que tardivement. Comme tout western qui se respecte, Il était une fois dans l’ouest décrit une page de l’histoire américaine et constitue la mythologie du Far West, la conquête des grands espaces et la constitution d’un État continent. L’histoire de la vengeance est centrale, mais en toile de fond c’est bien de conquête qu’il est question. Le territoire a été déjà balisé par une poignée de pionniers venus souvent d’Europe et qui ont acheté des lopins de terre au milieu de nulle part, constituant souvent des petites villes entrées dans l’image habituelle du Far West. Ces pionniers, ce sont aussi les cow-boys, les héros du film qui préfèrent la solitude des grandes plaines et leurs chevaux à la vie urbaine et qui mettent un point d’honneur à défendre leur honneur, quitte à traquer sans relâche un ennemi durant des années. Suivant de quelques années ces premiers occupants, la conquête du territoire américain s’est organisée depuis la côte est et prend une forme concrète des voies de chemin de fer. Le train doit pouvoir relier les deux océans et permettre le contrôle de cet immense espace sauvage les États-Unis n’ont pas réinventé la roue dans le domaine, tout État contrôle son territoire notamment par des voies de communication efficaces. Les Américains l’ont cependant fait à l’américaine, en laissant faire les initiatives privées c’est donc un entrepreneur qui, dans Il était une fois dans l’ouest, fait construire le train. C’est lui aussi qui rachète les terrains voire, parfois, force la main des propriétaires. Le film se concentre autour du ranch d’un pionnier irlandais, Sweetwater, lieu nommé ainsi en raison de la présence d’une source d’eau au milieu du désert. Cet espace n’est pas encore atteint par le train, mais ce dernier arrive tout au long du film et c’est tout une ville qui va se construire autour du ranch. Une conquête chasse l’autre et Sergio Leone filme la fin d’un monde, celui des pionniers et de la loi du plus fort. Le film met à mort tous ces pionniers inadaptés au nouveau monde, qu’il s’agisse d’une mise à mort réelle ou d’une exclusion. Le réalisateur ne s’attarde pas vraiment sur la nouvelle conquête, qui ne l’intéresse qu’à la marge, hors champ on voit bien la construction du chemin de fer et avec elle la naissance de nouvelles villes, mais la caméra ne s’y attarde jamais vraiment. En parallèle de la fin d’un monde, Il était une fois dans l’ouest signe l’arrêt de mort du genre du western en le pervertissant totalement. Tous les codes et clichés du genre sont pourtant là les grands espaces bien sûr, les cow-boys solitaires qui s’affrontent dans les rues désertées des villes, les duels au colt, les ranchs ou encore la prostituée, seule femme de tout le film. Ils sont tous là, mais le film s’amuse à déjouer nos attentes et à cet égard, la fameuse scène d’ouverture est très révélatrice. Sur quasiment 15 minutes, Sergio Leone plante trois cow-boys typiques, qui pourraient être le trio de Le Bon, la Brute et le Truand, le précédent film du réalisateur. Quand la cible apparaît enfin, on entend d’abord le son de l’harmonica, avant de voir la silhouette et enfin le visage du quatrième cow-boy. Quelques paroles font encore monter le suspense, et puis les coups de feu claquent. En l’espace d’une seconde ou deux, Sergio Leone plie l’affaire et passe à autre chose, comme si l’issue même du combat n’avait aucun intérêt, ou plutôt était attendu. Tout le film semble ainsi assez désinvolte sur les combats, n’hésitant pas à étendre le temps à l’infini avant et à expédier ensuite les combats comme s’ils n’avaient aucun intérêt. Les trois personnages principaux du film paraissent par ailleurs fatigués, lassés par la vie qu’ils mènent et sont en tout cas très éloignés de l’enthousiasme des westerns de la grande époque le passage d’une époque à une autre évoqué précédemment se lit jusque dans les traits tirés des personnages. On pourrait ainsi multiplier les exemples d’archétypes détournés, comme la figure féminine qui est ici une femme libre, presque une féministe tout reste relatif qui n’hésite pas à utiliser ses talents pour parvenir à ses fins. Le genre du western est non seulement mis à mort par Sergio Leone dans Il était une fois dans l’ouest, mais il est aussi enterré, comme s’il était déjà mort, finalement. L’âge d’or du western résiste mal à la Guerre Froide les États-Unis sont désormais très bien constitués et le western, genre américano-américain, est passé de mode. En témoigne, d’ailleurs, l’échec commercial du film outre-Atlantique, alors qu’il a plutôt bien fonctionné sur le Vieux Continent. Il est vrai que Sergio Leone n’aide pas vraiment ses spectateurs avec son film lent et contemplatif. La scène introductive fait figure de manifeste en concentrant tous les aspects remarquables du film. Les plans fixes se multiplient, tantôt des plans larges sur l’immensité des paysages, tantôt des plans rapprochés sur un visage, une paire d’yeux parfois seulement. Quand la caméra bouge, c’est toujours en lents, mais très impressionnants techniquement travellings. Les personnages parlent peu et se contentent de regards lourds de sens, tandis que la caméra se concentre sur quelques éléments qui constituent le personnage, comme des articulations craquées ou un jeu avec une mouche emprisonnée dans le canon d’un revolver. La bande-son est essentielle, les pales d’une éolienne ponctuent la scène de ses couinements, la mouche virevolte autour d’un visage et bien sûr, il y a la musique magique d’Ennio Morricone. Compositeur associé pour toujours au genre du western, il propose ici une musique tellement connue et qui a inspiré tant d’autres compositeurs de films qu’elle semblerait presque constituer une caricature. La musique joue un rôle essentiel chez Sergio Leone très présente, mais pas omniprésente comme elle l’est aujourd’hui dans tous les blockbusters, elle caractérise les personnages ou donne instantanément une coloration particulière à une scène. Reprenant le principe bien connu depuis les opéras de Wagner de la mélodie associée à un personnage exemple bien connu ici de l’harmonica du cow-boy vengeur qui suffit à signaler sa présence, la musique de Morricone est si centrale qu’elle deviendrait presque un personnage à part entière. Quand elle est absente, la bande-son reste d’une richesse extrême et joue un rôle jusque dans l’action les grillons s’arrêtent de chanter pour annoncer la fin prochaine, par exemple. Quarante ans après, le film reste une magistrale leçon de cinéma, que ce soit dans la gestion élastique du temps qui introduit et maintient le suspens, ou dans ces plans magistraux, qui surprennent parfois notamment certaines contre-plongées et ne cessent de rappeler, si besoin était, l’influence qu’a eu Sergio Leone sur le cinéma. Du grand art, tout simplement. Il était une fois dans l’ouest est un film qui semble inépuisable. Que l’on s’intéresse à la mise à mort du western, à l’histoire des États-Unis, aux techniques cinématographiques ou à tout ça à la fois, on pourrait trouver encore tant à dire sur le film de Sergio Leone. Force est de constater que ce film mérite son statut de film culte, un de ces films qui résisteront sans aucun doute à l’épreuve du temps et qui resteront un classique pour tous ceux qui veulent faire du cinéma. Si vous ne l’avez jamais vu, cette nouvelle version est l’occasion rêvée et pour les autres, le voir sur un écran panoramique vaut indéniablement le déplacement. Avis unanimes sur le film dans la blogosphère, que ce soit chez Nicolas qui révèle une information intéressante les trois personnages du début auraient dû être joués par les trois acteurs de Le Bon, la Brute et le Truand… ou chez Alexandre qui conclut en faisant simplement du film l’un des 5 plus grands films américains de l’histoire. » Que dire de plus ? Dix anecdotes de tournage à propos du film de Sergio Leone, Il était une fois dans l'Ouest, diffusé ce lundi 13 août à 20h55 sur France Pour écrire Il était une fois dans l'Ouest, Sergio Leone a notamment fait appel aux jeunes scénaristes Dario Argento et Bernardo Bertolucci, qui allaient par la suite devenir eux aussi de grands Henry Fonda se laissa convaincre d'incarner pour la première fois un méchant à l'écran en visionnant à la suite les trois précédents films de Sergio Leone, qui avait déjà pensé à lui pour Et pour quelques dollars de plus le rôle fut finalement tenu par Lee Van Cleef.3. Le disque de la bande originale d'Il était une fois dans l'Ouest, signée Ennio Morricone, s'est vendu à l'époque en France à plus d'un million d'exemplaires. Pour mettre les acteurs dans l'ambiance, la musique était jouée sur le plateau durant le Désireux de faire la jonction avec son film précédent, Le Bon, la Brute et le Truand, Sergio Leone avait demandé à Clint Eastwood, Lee Van Cleef et Eli Wallach de jouer les trois desperados qui attendent Harmonica Charles Bronson à la gare au début du film. Mais Eastwood a décliné l' Rock Hudson, Warren Beatty et Kirk Douglas avaient fait savoir leur désir de jouer dans Il était une fois dans l'Ouest. Les deux premiers lorgnaient sur le rôle principal, tenu par Charles Bronson. Kirk Douglas, lui, voulait celui de Cheyenne. Mais Leone lui a préféré Jason Robards, acteur shakespearien qu'il faillit virer illico quand celui-ci s'est présenté fin saoul à leur premier Quand il est arrivé aux Etats-Unis en 1968, Sergio Leone pensait en avoir fini avec le western et avait déjà en tête le scénario d'Il était une fois en Amérique, qu'il ne tournera que seize ans plus tard. Devant l'ampleur du projet, on lui a gentiment suggéré de réaliser un autre western et lui a décidé de faire un nouveau triptyque en ajoutant Il était une fois la Révolution en La construction de la ville de l'Ouest a coûté 250 000 dollars, soit à elle seule que le premier western de Leone, Pour une Poignée de Claudia Cardinale raconta que le "mystérieux" Charles Bronson faisait toujours bande à part sur le tournage, jouant avec une petite balle et ne parlant à Il était une fois dans l'Ouest a été tourné à Monument Valley en Arizona, dans la région de Moab dans l'Utah ainsi qu'en Andalousie, comme ses trois précédents, dans la bourgade de La Calahorra et dans le désert de Tabernas. Claudia Cardinale et Paolo Stoppa font ainsi la plus "longue" randonnée en cariole de l'histoire du cinéma puisqu'elle débute en Espagne, passe par Monument Valley et se termine à la ferme des McBain en Espagne Le public français a fait un triomphe à Il était une fois dans l'Ouest, qui a frôlé les 15 millions d'entrées, ce qui le classe toujours au septième rang des films les plus vus en salles. Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités Il était une fois dans l'Ouest de Sergio Leone — Splendor Films La construction du chemin de fer, la beauté de , l’harmonica de , le regard d’acier d’ , le sourire de et la partition d’ sont des éléments emblématiques d’Il était une fois dans l’Ouest 1968.20 Minutes a recensé six faits moins connus sur ce classique du western dit spaghetti » signé . , biographe du réalisateur, permet d’en savoir plus avant de redécouvrir ce chef-d’œuvre indémodable sur grand coscénaristes prestigieuxC’est à Bernardo Bertolucci, réalisateur du 1972 ou du 1987, et à Dario Argento, réalisateur de 1987, que l’on doit le scénario diabolique du film, sans que l’on sache qui est réellement le responsable d’un dénouement particulièrement retors. 2/Clint Eastwood aux abonnés absentsSergio Leone souhaitait que et ses partenaires du Bon, la Brute et le Truand, son précédent film, viennent faire une apparition dans la scène de début où Charles Bronson débarque à la gare. Suite à une brouille avec le réalisateur, Clint a refusé et Sergio a abandonné l’ Fonda s’est fait tirer l’oreilleHenry Fonda n’était pas enthousiaste à l’idée de jouer le méchant glacial qui massacre une famille dès la première scène. Il a fallu l’intervention son ami pour le convaincre qu’il ne fallait pas laisser passer l’occasion. L’acteur a essayé de porter des lentilles pour cacher ses légendaires yeux bleus mais Leone l’a obligé à les l’influence de John FordSi une partie du film est tournée en Espagne, Sergio Leone a tenu à filmer à aux Etats-Unis. Il tenait à rendre hommage au maître du western américain . Il connaissait parfaitement le décor sans l’avoir jamais visité grâce à des films comme 1939. 5/Le film a coûté une fortuneLe décor de la ville en construction dans laquelle débarque Claudia Cardinale a coûté dollars soit davantage que le budget total de 1964, son premier film que Sergio Leone signa à l’époque sous le pseudonyme Robert rapports entre Leone et Morricone furent difficilesSergio Leone et son compositeur ont eu du mal à obtenir la partition légendaire du film. Le réalisateur aurait fait refaire sa musique une vingtaine de fois à Morricone avant de déclarer satisfait. Il la faisait jouer sur le plateau afin que les comédiens puissent s’en imprégner pendant le tournage. Il était une fois dans lʹOuest, C'era una volta il West, est film italo-américain de Sergio Leone sorti en 1968, emblématique du réalisateur italien. Ses codes artistiques révolutionnent littéralement le beauté des images, ses personnages hiératiques et surtout la musique dʹEnnio Morricone en font un film incontournable, quasiment Leone traverse le western avec lʹélégance dʹun prélat italien, y ajoute la bouffonnerie de la Comedia del Arte et lʹœil de détourne les codes du bon, de la brute, du bandit, du fermier, de lʹéleveur, du promoteur, de la femme qui veut se refaire une pose sur lʹAmérique et la conquête de lʹOuest le regard dʹun européen qui adore les histoires de cowboys et dʹindiens. Au centre de ce film, il met la rivalité des intérêts pour lʹappropriation des chemin de fer, le progrès va bientôt passer par là. Et ça défouraille à tout va sous un soleil de Cardinale tient dans le film le seul rôle féminin du à elle Jason Robards, Henry Fonda et Charles Bronson. En Europe, le film fait un pas aux Etats-Unis où il est amputé de nombreuses scènes. Peut-être quʹil est trop européen comme western Allez dans Travelling, nous galopons vers lʹOuest en tentant de piocher quelques éléments de réponses. Laissons-nous emporter par lʹunivers de Sergio Leone, par lʹharmonica, par la beauté des paysages, par le regard de Charles Bronson et la méchanceté dʹHenri Morricone en 1988 sur la RTSHommage à l'immense compositeur italien Ennio Morricone décédé à 91 ans. En 1988, il était de passage dans l'émission Bonsoir pour une longue interview remplie d'anecdotes personnelles et professionnelles. Il y raconte par exemple sa collaboration avec son ami Sergio Leone pour les films "il était une fois dans l'ouest" et "il était une fois en Amérique".Le réalisateur Sergio LEONE parle du rôle de la musique dans ses films. Puis Ennio MORRICONE en italien expose sa théorie de la musique de film et parle de sa collaboration avec Sergio Sergio Leone sur "Il était une fois dans l'Ouest"TéléMidi du Sergio Leone et sa trilogieInterview de Sergio LEONE par François CHATEL. Il parle du film "Il était une fois la révolution" qui fera partie d'une trilogie. Le 3ème volet sera "Il était une fois en Amérique" se déroulant au Mexique. Culture IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST C'era una volta il West, Sergio Leone, 1968 Sur le même sujet Il était une fois dans l'Ouest Séances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires note moyenne 4,5 29140 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur Il était une fois dans l'Ouest ? 829 critiques spectateurs 5 608 critiques 4 159 critiques 3 26 critiques 2 21 critiques 1 7 critiques 0 8 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés "Il était une fois dans l'Ouest" incarne par excellence le "Western Spaghetti", mais à la fois le Western classique ! Avec son point de vu sur "la conquête de l'Ouest Américain" et sa critique de l'expansion des chemins de fers et de la colonisation, ce film enterre d'une certaine manière le mythe du Western Hollywoodien. Mais c'est aussi un sommet du genre, Sergio Leone sublime son film par sa mise en scène, qui atteint son paroxysme, et avec ça, tous les ingrédients d'un chef d'oeuvre du maître réunis ; gros plans à foison, suspenses grandioses, gueules patibulaires, musique magistrale signée Morricone... Qui n'a jamais chantonné ou siffloté le culte et terrible "Ouin, ouin ouiiin, ouiiiiin" de l'homme à l'harmonica, alias Charles Branson ?! Cette musique est, comment dire... MAGISTRALE, REMARQUABLE, GRANDIOSE... Oui, c'est ça ! Tous les acteurs sont stupéfiants ; Charles Bronson, le vengeur à l'harmonica, Henry Fonda, le méchant diabolique, sadique, terrifiant, génial !, Claudia Cardinale, qui apporte un peu de féminisme et de délicatesse dans ce monde d'homme, de brutes, et pour finir Jason Robards, dans le rôle de Cheyenne, un bandidos et aventurier qui n'est pas aussi cruel qu'il le fait penser... Sergio Leone nous passionne, nous émerveille, avec cette ambiance, cette musique, cette mise en scène et ces acteurs ! Il sublime l'Ouest Américain, sa poussière, sa violence, avec ces longues scènes de suspense, à l'image de la première ; quand la bande de bandits attendent l'homme sans nom de l'histoire, l'harmonica ; la mouche, la goutte d'eau, l'éolienne qui bouge doucement en faisant du bruit... Cette séquence est insoutenable et passionnante à la fois ! Elle montre à elle seule toute l'ampleur du génie de Leone. Donc voilà, je crois que c'est assez bien résumé, "Once upon a time in the West", ou "C'erra una Volta il West" est un Western mythique et culte, intemporel, magnifique ; ça fait beaucoup de superlatifs, mais ce film les mérites largement et bien plus encore... Vraiment, je me souviens quand je l'ai vu pour la première fois, j'étais émerveillé, c'était un Western avec un grand W, du Cinéma avec un grand C un chef d'oeuvre !!! Premier volet de la fameuse trilogie de Sergio Leone sur l’histoire américaine ou, pour nous autres français, les "Il était une fois…", ce western est également son dernier "Il était une fois la révolution" n'étant pas, à proprement parlé, un western. D’ailleurs, plus qu’un western, "Il était une fois dans l’Ouest" est un véritable opéra baroque mêlant violence, désespoir, tristesse et un peu de joie quand même. La mise en scène de Leone y est pour quelque chose. Ses gros plans mythiques, ses longues scènes sans dialogue, tout cela contribue à faire entrer ce film dans la légende. Ajoutons à cela des acteurs au sommet Fonda, Bronson, Cardinale, Robards, des dialogues savoureux, une musique d’anthologie du grand Ennio Morricone une de mes préférées et je me demanderai toujours pourquoi elle n’a pas eu l’oscar de la meilleure musique et on obtient le meilleur western jamais réalisé. Avec "C'era una volta il West", Sergio Leone n'hèsite pas à s'attaquer à un scènario complexe et ambitieux, oeuvre d'un jeune auteur de 27 piges dont le nom deviendra rapidement très cèlèbre sur le plan de la mise en scène Bernardo Bertolucci! En tant que scènariste, Dario Argento ètait aussi de la partie! C'est dire! Ce western fabuleux raconte les règlements de comptes entre bandits et fermiers, aventuriers et propriètaires terriens, dans un style hyper brillant, voire endiablè! La distribution amèricano-italienne est sans doute l'une des meilleures qu'on pouvait rèunir à l'èpoque ; elle comprend Charles Bronson / l'homme à l'harmonica, Henry Fonda, Jason Robards dit le Cheyenne » , Gabriele Ferzetti, Paolo Stoppa, Woody Stroode et une Claudia Cardinale juste belle à tomber! En presque 3h, on sent vivre ces personnages comme si l'on passait dix jours avec eux, le roi Leone transformant le western spaghetti en grand spectacle apte à concurrencer les productions de Hollywood! Ennio Morricone, quant à lui, signe une bande son aussi mythique que le duel final entre Bronson et Fonda! C'est donc un incontournable dans l'histoire du cinèma où Leone, spècialiste du western à l'italienne et battant Hollywood sur son propre terrain, a parfaitement rèussi dans ce domaine en signant une oeuvre maîtresse du western spaghetti... Peut-on dire qu'il existe dans le monde du cinéma un western aussi brillant, passionnant novateur et maîtrisé que ce "Il était une fois dans l'Ouest"? Sincèrement, je ne pense pas, et je vais vous dire pourquoi dans cette critique qui s'annonce particulièrement longue, vu le nombre de choses que j'ai à dire sur ce chef d'oeuvre du cinéma. Qualifier ce long-métrage de superbe western serait trop peu dire. Car oui, en effet, " Il était une fois dans l'Ouest" est bien plus qu'un irréprochable film, c'est aussi une oeuvre profonde, recherchée et originale. Vous pourrez essayer de trouver tous les défauts que vous voudrez, vous ne réussirez pas à en déceler un seul chaque plan de caméra, chaque scène, chaque dialogue trouvent leur utilité dans le métrage et sont réellement travaillés. Il n'y a pas à dire, Sergio Leone vient de nous livrer une oeuvre d'art. Pourquoi ce film est-il meilleur, à mon goût, que Le bon, la brute et le truand, par exemple? Tout simplement parce qu'il prend son temps pour nous narrer une histoire criante de réalisme et d'authenticité, à s'en demander si elle n'est pas vraie. Je sais bien que le western que j'ai choisis en exemple prend lui aussi son temps pour raconter son histoire, mais il ne détient pas le même effet dramatique, la même portée cinématographique. Bon, bien sur, c'est une question de goûts; certains préféreront "Le bon, la brute et le truand" mais pour ce qui est de mon cas, je préfère "Il était une fois dans l'Ouest", que je pense, et cela n'engage que moi, plus approfondi dans son sujet et plus original. Attention, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit Le bon, la brute et le truand est très original, mais pas de la même façon que son concurrent direct. Bon, il n'y a pas de réelle concurrence, puisque les deux ont été réalisés par Sergio Leone... Bon, comme cette critique va s'avérer être plutôt longue, je vous invite, si l'envie vous en dit, à voir la suite en cliquant sur le lien ci-dessous, qui vous montrera la parie finale de mon travail sur ce pur chef d'oeuvre qu'est " Il était une fois dans l'Ouest". A mes yeux, c’est LE film de Sergio Leone. Tout y est. Dès l’introduction il y a ce génie de la mise en scène qui se met en place. Il y a également tout le talent d’Ennio Morricone qui nous sort là ce qui restera le morceau le plus mythique du western. Et là encore, je ne parle que de l’intro. Ce film accumule les scènes cultes, les acteurs charismatiques, et surtout, il traduit effectivement tellement ce qu’est l’Ouest américain. Plus qu’une déclaration d’amour à l’Amérique, au genre du western, ou bien même au cinéma, ce film est juste pour moi l’une des expressions les plus abouties de ce qu’est le septième art. Merveilleux. " Il était une fois dans l’Ouest " Western mythique de Sergio Leone .L'histoire se déroule à l’époque du Far West dans l'Ouest américain . Beth McCain un fermier est sauvagement assassiner avec ses enfants par Franck Henry Fonda un homme de main qui travaille pour le compte d'un certain Morton Gabriele Ferzetti . Morton a fait assassiner Beth McCain par Franck pour récupérer ses terres qui ont énormément de valeur depuis que le chemin de fer doit y passer . Jill Claudia Cardinale la femme de Beth McCain hérite alors des terres de son mari et devient très vite la nouvelle cible de Morton et de son bras droit Franck qui veulent récupérer les terres . Elle reçoit de l'aide d'un mystérieux homme à l'harmonica Charles Bronson qui a également un différent avec Franck ... Quelques années après avoir mis en scène trois Western dans sa trilogie culte du dollars ” Pour une poignée de Dollars " , " Et pour quelques Dollars de plus " et " Le Bon , la Brute et le Truand " avec Clint Eastwood en vedette , le réalisateur Sergio Leone avait envie de s’éloigner un peu de l’univers du western pour se consacrer à un projet différent et assez ambitieux celui d’adapter sur grand écran le livre " The Hoods " de l’écrivain Harry Grey une histoire de mafia et de gangster situé dans les années 30 aux États Unis qui deviendra bien des années plus tard le film " Il était une fois en Amérique " . Mais ses producteurs ne l’entendait pas de cette oreille car ils voulaient qu’il continue à réaliser un nouveau Western car c’est ce qui plaisait le plus aux gens à ce moment là et qui rapportait énormément . Sergio Leone très sceptique au début à l’idée de réaliser encore un Western fini finalement , après mûre réflexion , par se laisser convaincre et accepta la proposition à la condition de faire un Western assez différent de ses prédécesseurs , quelque chose d’assez nouveau à l’époque et de beaucoup plus ambitieux par rapport à ses précédents western une sorte de grande fresque se déroulant à l’époque du Far West avec des personnages fort et charismatiques . Il repoussa donc l’adaptation ciné du livre " The Hoods " à plus tard et se lança dans ce Western ambitieux qui aura pour titre " Il était une fois dans l’Ouest " . Et quelle bonne idée il a eu la car il signa avec " Il était une fois dans l'Ouest " l'un des plus grands western de l'histoire du septième art et par la même occasion l’un des plus grands films du cinéma tout genre confondus . Le scénario est géniale et vraiment prenant . L’histoire va nous tenir en haleine jusqu'au bout avec cette femme qui va lutter contre des bandits mener par un tueur impitoyable nommer Franck qui vont tout faire pour lui voler ses terres . Dans sa lutte contre les bandits elle sera aider par un mystérieux homme qui ne lache pas son harmonica fétiche et sa va être explosif ce qui va donner lieu à son lot de tension , de violence , de suspense , de dialogue savoureux , d’humour , d’émotIon et d’action dans une pléiade de scènes cultes graver dans les mémoires la scène d’ouverture à la gare avec les 3 personnages qui attendent le train , le massacre de Beth McCain et de ses gosses , les scènes avec l'homme à l'harmonica , le duel finale ... . Le film dure 3 heures et on ne les absolument pas passé tellement on est pris dans le film . Donc pour ceux qui serait effrayé par la longueur du film je peut vous assurez que les 3 heures passe comme une lettre à la poste . Les acteurs sont tous époustouflant dans leur rôles respectifs avec en tête le trio mythique composé de Claudia Cardinale , Henry Fonda et Charles Bronson . Claudia Cardinale est magnifique dans le rôle de cette femme qui vient de perdre toute sa famille et qui va devoir faire face a des bandits venu lui voler ses terres . Elle illumine le film par sa présence et sa grande beauté . Henry Fonda est tout simplement époustouflant dans le rôle de Franck ce tueur à gage impitoyable qui ne connait ni la pitié , ni la peur ni les remords et qui va tout faire pour récupérer les terres de Claudia Cardinale . Henry Fonda dans le rôle d’un méchant c’était un vrai pari . Il respirait la gentillesse et personne ne le voyait dans un rôle de méchant et encore moins dans un rôle de tueur impitoyable et sans pitié . C’est Sergio Leone qui a vu le potentiel de Henry Fonda pour jouer un méchant et qui décida de lui confier le rôle . Et quelle bonne idée il a eu une fois de plus . Henry Fonda incarne l’un des méchant les plus charismatique et mémorable du 7e art . Lui qui avait l’habitude de jouer des rôles de gentil cassa vraiment son image et montra à tous qu’il avait d’autre corde à son arc et qu’il pouvait jouer d’autres rôles . Et enfin Charle Bronson est juste exceptionnel dans son rôle d'homme à l'harmonica ce personnage mystérieux et intriguant devenu culte qui apporte son aide à Claudia Cardinale pour se débarrasser de Franck et de sa bande de bandits . Jusqu'à la fin du film son personnage est vraiment intriguant car on ne sait pas pourquoi il cherche Franck Henry Fonda jusqu'à la révélation finale assez innatendu . Il est également drôle car il ne se sépare jamais de son Harmonica et quand il a un différent avec quelqu’un au lieu de lui parler ou de l’affronter il joue de la musique ce qui agace fortement ses ennemis et c’est vraiment amusant . Chacun des acteurs déborde de charisme dans leur rôle . Ils donnent vraiment de l'épaisseur à leurs personnages et ils ont l'air si réel . Au niveau du casting c’est une réussite totale . C’est difficile d’imaginer maintenant d’autres acteurs dans leurs rôles . Ils étaient fait pour jouer leurs personnages . La mise en scène de Sergio Leone est exceptionnelle . Lui qui voulait faire quelque chose de novateur on peut dire qu’il a réussit son coup tant il a vraiment renouvelé le genre du Western nottament dans sa mise en scène avec les lenteurs qu'il met dans son film pour faire grimper la tension et accentuer le suspense nottament pendant les duels entre les personnages sur lequel il fait des zoom et qui sont filmé en gros plans . Ses techniques de mise en scène rendent les duels encore plus intense et tendu . La reconstitution du Far West est splendide grâce à de superbes costumes et décors reconstituer dans de magnifique paysages qui nous dépayse totalement . On s’évade avec un énorme plaisir dans cette époque du Far West magistralement reconstitué . La musique de Ennio Morricone est tout simplement mythique et accompagne chaque scènes magistralement nottament pendant les duels entre les personnages dont la musique magistral rendent les duels vraiment intense . La musique à l'harmonica est graver dans les mémoire pour toujour . On peut dire que Sergio Leone qui voulait réaliser un Western différent de tout ce qui se faisait à l’époque et de beaucoup plus ambitieux a largement réussit son pari tant son " Il était une fois dans l’Ouest " est grandiose et est devenu une œuvre majeure du septième art qui connu un immense succès à sa sortie en salle en 1969 il y a 50 ans déjà avec près de 15 millions d'entrées rien qu’en France . Un très grand classique . Sergio Leone est au sommet, et il est prêt à montrer aux États-Unis ce qu'est la violence de l'Ouest américain, il le fait lentement et, sacrilège, avec comme symbole le beau et gentil Henry Fonda dans un rôle d'une grande compte arrêter le western après l'immense Le Bon, la Brute et le Truand et effectivement, il avait déjà tout dit ou presque sur le sujet, l'Amérique lui proposa de mettre à l'épreuve son genre de prédilection, mais cette fois-ci sur les terres de l'Ouest, et repoussa ainsi son faste projet Il était une fois en Amérique. Retrouvant donc les poussières du western, il met en scène un quator de personnages à la croisée des truands face à un mystérieux homme jouant de l'harmonica, l'introduction est déjà mythique et les éléments du cinéma de Leone sont tous là. Caméra souvent braquée au plus près des visages des personnages, des détails qui ont toutes leurs importances, puis le train, la musique et le duel. La suite appartient à la postérité. Leone revisite à sa sauce le mythe du western à l'américaine, les duels, le chemin de fer, le cow-boy solitaire, le truand qui s'évade de prison ou encore un salaud de la pire espère comme une lecture bien personnelle de Leone, qui joue sur la lenteur et les mouvements de caméra, qui nous montre des personnages minés par la mort, celle qu'ils provoquent ou qu'ils subissent. L'atmosphère est certes poussiéreuse, crépusculaire aussi, avec l'avancement du chemin de fer et la fin d'une époque, mais surtout fataliste. Chaque personnage semble connaître son destin et s'apprête à l' colle aussi bien à Il était une fois dans l'Ouest alors que le cinéaste italien joue de toutes ces légendes, et montre aussi ce qu'il considère comme une réalité trop souvent édulcorée dans la vision de l'Ouest par Hollywood. Si la violence passe bien, parfois, par les balles de révolvers, elles sont aussi dirigées par les bureaux et à des fins politiques ou d'expansion. Dans le fond et non la forme, Frank n'est pas pire que Morton, et c'est l'évolution de l'Ouest Américain, la fin d'une époque et le capitalisme dans sa forme moderne qui atteint peu à peu la côte nabab des chemins de fers, les paysages de l'Ouest qui subissent des transformations ou encore l'industrialisation, que ce soit en premier ou arrière-plan, de nombreux pans de l'Histoire américaine passent devant la caméra de Sergio Leone. Comme dans la trilogie du Dollars, il sublime les paysages, ici les grands espaces, les vastes plaines ou les villes en liens avec sa trilogie portée par Clint Eastwood ne s'arrêtent pas là, et on retrouve en partie le schéma d'Et Pour Quelques Dollars de plus. L'Harmonica reprend à la fois le costume de l'homme sans nom, mais aussi celui de Lee Van Cleef qui cherche à se venger de la mort d'un proche, avec l'harmonica remplaçant la montre. Le film bénéficie de l'extraordinaire partition d'Ennio Morricone, qui forme une parfaite alchimie avec les images et participent pleinement à l'atmosphère, faisant d'Il était une fois dans l'Ouest un véritable la caméra, Henry Fonda est surprenant et fantastique en salopard cruel et sans pitié, inoubliable avec ses yeux bleus et sa première apparition fait froid dans le dos. Face à lui, Charles Bronson est impassible en vengeur avec un cœur, cœur qui ne fait pas non plus défaut à un Jason Robards génial en Cheyenne. Claudia Cardianale, au milieu de l'horreur et d'un monde d'homme, est, elle aussi, Leone retourne dans le western qu'il pensait laisser derrière lui et propose avec Il était une fois dans l'Ouest un opéra baroque marquant la fin d'un genre, il en reprend les codes et les cuisine à sa sauce, avec fatalisme, mythologie, mélancolie et cruauté. L'un des meilleurs western du maître en la matière Sergio Leone. La mise en scène est très réussie, les décors et certains plans sont superbes et la BO est tout simplement parfaite, complètement en accord avec le film, parfois légère, parfois angoissante. Écrite bien sur par le compositeur attitré de M. Leone Ennio Morricone qui n'en finit pas de faire des BO d'exceptions. Le casting est prestigieux et les acteurs excellents Claudia Cardinale est magnifique. Le seul film qui donne envie d'apprendre à jouer de l'harmonica. Un chef-d'oeuvre. Il suffit de cette scène inaugurale, dans une gare inquiétante, pour comprendre que le film auquel on a affaire sera immense, et ce, de bout en bout. Une scène d'attente pour commencer, qui dure, existe seulement grâce aux bruits insolites celui d'une mouche, de goûtes d'eau tombant sur un chapeau, etc. et qui capte notre attention parce que son but reste longtemps obscur au final, des coups de feu, brefs mais terribles, à l'image de ceux qui retentissent dans le film. "Il était une fois dans l'Ouest" montre que Leone est moins intéressé par l'idée de filmer la violence dans la durée que de saisir le moment où tout se déclenche, où le long silence indicatif laisse place au son, net et brutal. De ce film sauvage qui condamne ses personnages à une solitude éternelle, on reste sans voix devant cette pure ambition de cinéma, celle de faire de chaque scène un spectacle en soi mais de toujours garder en tête l'idée de l'ouvrir à un horizon encore plus grand, de faire de cette fresque intime et historique une montée en puissance sur le plan dramatique absolument vertigineuse, jusqu'à un duel final anthologique et bouleversant. Fait d'histoires de vengeance au moment où l'Amérique se construit les chemins de fer et d'histoires d'amour impossibles, ce chef-d'oeuvre absolu parvient avec une maestria inégalée à interrompre son souffle tragique et à injecter une dimension comique qui doit autant à l'inventivité des situations qu'à la percussion des dialogues, deux composantes qui ont certainement dû influencer Tarantino. Impossible de ne pas rire devant "Il était une fois dans l'Ouest", mais impossible aussi de retenir ses larmes au moment où Claudia Cardinale arrive à la gare, accompagnée de son thème musical déchirant, ou devant ce plan où sur le trajet en charrette qui suit, Leone filme les grands espaces comme pour dialoguer avec John Ford, au sein d'une proposition de genre radicalement différente. Incarné par un suprême élan lyrique, le film nous emporte tel un torrent sans jamais faiblir avant de nous faire chavirer. Foudroyant ! Que dire de ce monument ....Ces longs silences qui préviennent d 'un moment intense à chaque instant?La bande originale signée Ennio Morricone ?La mise en scène ou les gestes lents dominent en totalité les images d'une grande beauté ..?Après avoir inscrit les codes du western spaghetti dans la trilogie du dollar, Sergio Leone revient pour son film le plus abouti, Il Etait Une Fois Dans L’Ouest où une nouvelle fois il rend hommage aux films de Ford et de Hawks et impose son style de western Leone encore une fois change les codes gros plans sur les visages en sueurs etc...Après sa trilogie du dollar, Sergio Leone réalise son chef d’œuvre ultime, Il Etait Une Fois Dans L’Ouest où l’originalité de sa mise en scène est à son paroxysme et le style scénaristique intelligent. Le genre inspirera de nombreux réalisateurs contemporains Quentin Tarantino par exemple ... Peut-être le plus grand film de Sergio Leone, maître d'un genre pourtant américain jusqu'à son arrivée. Il révolutionne le western en jouant avec ses codes, introduit de l'humour, de la violence, du réalisme et de la magie... Ce que je trouve fascinant dans son oeuvre et en particulier ici, c'est la façon dont il gère le temps. Il fait ce qu'il veut à ce niveau-là, aussi bien capable d'enchaîner un long plan-séquence immobile avec une scène spectaculaire. Mais dans les deux cas, le spectateur est complètement fasciné par cet étrange pouvoir de séduction. Il faut aussi signaler qu'il est aidé par un élément en plus, à savoir la célébrissime musique d'Ennio Morricone. La distribution était encore une fois un coup de maître, d'Henry Fonda à Charles Bronson en passant par Jason Robards et un rôle féminin magnifique Claudia Cardinale!!!. Tout s'apparente à un chef-d'oeuvre mais encore une fois, ce qu'on retient de ce film culte, c'est la maîtrise du temps hallucinante de Leone. Il est le seul à avoir réussi cela, et c'est ce qui fait qu' "Il était une fois dans l'ouest" est un conte unique. Un très grand classique des films du genre western, c'est culte, et ça en restera. La principale raison pour laquelle ce film est culte, c'est pour les musiques qui sont tous simplement inoubliables, il s'agit de la principale raison pour laquelle le film vaut le coup. Franchement, le compositeur de ce film, Ennio Morricone compositeur des films '' Pour une Poignée de Dollars '', '' L'oiseau au plumage de cristal '' et '' Il était une fois en Amérique '' est un grand, rien que pour avoir composé les musiques de ce film. Bon je vais peut être décevoir certains fan du film, mais bon, on est très loin de mon western et de mon film préféré. Mais Sergio Leone a crée un style de western qui a su révolutionner ce genre de film. Mais ce style ne plaira peut être pas à tout le monde, en effet, il faut savoir que Sergio Leone avait parfois tendance à réaliser des films lents. Mais ce western a toutes les qualités qu'il faut pour faire un bon western. Pour commencer, la réalisation de Sergio Leone est superbe, les plans de cameras sont parfaits, et laissent souvent place à de très beaux décors. La scène d'introduction est exceptionnelle grâce à l'exceptionnelle musique composée par Ennio Morricone. Le scénario est excellent, bon il est vrai que c'est le genre d'histoire que l'on voit dans à peu près tous les westerns, mais peu importe, néanmoins ça reste du pur western comme on l'aime. Même si j'ai trouvé le film captivant et très intéressant à suivre, je trouve que certaines scènes sont un peu longues à venir, en effet, j'ai trouvé qu'il y avait quelques passages ennuyeux, mais ça se pardonne vite. Les personnages sont excellents et possèdent des qualités qui peuvent les rendre attachants. Le personnage principal interprété par Charles Bronson est génial, dès le début du film, une histoire de vengeance est en lui, et rend le personnage très intéressant. Les scènes d'actions sont cultes elles aussi, surtout la scène finale qui est magistrale où l'on apprend la révélation finale. Les acteurs sont excellents, Charles Bronson et Henry Fonda sont parfaits et livrent de très belles interprétations. L'histoire se déroule dans une ville fictive de l'Ouest américain lors de la construction du chemin de fer qui relie les deux cotes américaines. Jill, une jeune femme, arrive tout droit de la Nouvelle Orléans pour s'installer chez son nouvel époux, Mc Bain. Cependant en arrivant elle découvre celui ci, ainsi que ses trois enfants, fraichement assassinés. On accuse alors Cheyenne, un bandit renommé et sa bande. Le véritable tueur s'avère en fait être Frank, un homme engagé par Morton, le magnat de la ligne de chemin de fer, qui souhaitait intimider Mc Bain puisque celui-ci possédait les terres sur lesquelles devaient passer le train. Seulement Morton ne s'attendait pas, d'une part à ce que Frank soit aussi radical et d'autre part à ce que la nouvelle femme de Mc Bain arrive et hérite de la propriété. En même temps descend du train un mystérieux homme jouant de l'harmonica. On ne connaît alors pas ses motivations mais il semble animer par la volonté de tuer Frank. En conclusion, '' Il était une fois dans l'Ouest '' est un très grand classique qui a révolutionner le genre western. Du grand Sergio Leone. Un Chef d'Oeuvre, 5/5. Un western mythique du grand Sergio Leone. Même sans Clint Eastwood ni Terrance Hill, ce film montre qu'avec un scénario bien ficeler, une réalisation impeccable et des personnages de légendes l'homme à l'harmonica est tout bonnement mythique, un chef d'oeuvre culte peut naître. Mention spécial à tous les acteurs qui jouent justes. Le western le plus légendaire de l'histoire du cinéma,et accessoirement mon film préféré."Il était une fois dans l'Ouest"1968assume totalement le fait de rendre mythique les cows-boys et la fin de la Conquête de l' Leone a voulu montré qu'au début du XXème siècle,la création du chemin de fer et l'arrivée de capitalistes fortunés allait signer l'acte de mort des hommes à l'ancienne,ceux qui se battent en duel,et qui prennent le pouvoir par leur film est une élégie sur l'Ouest américain,autour de 4 personnages iconiques,chacun à un tournantsouvent fatalde son McBain reprend la ferme familiale après le carnage de sa nouvelle Cardinale y est courageuse,vulnérable, attend mystérieusement son heure pour se débarrasser d'un passé encombrantCharles Bronson,divinement impénétrable.Frank,tueur à gages vieillissant,tente de s'adapter aux nouvelles règles commercialesHenry Fonda,impitoyable et glaçant.Alors que Cheyenne incarne lui le cow-boy romantique,spirituel et mélancoliqueJason Robarts,hyper-attachant.Leone grave son western dans le marbre,en étirant les regards,les silences,les gestes à l'infini;comme dans cette ouverture magistrale sur le quai d'une a le souffle coupé,à l'affut du moindre musique d'Ennio Morricone est thèmes pour les 4 airs menaçants,romanesques et désenchantés qui pénètrent notre chef d'oeuvre des chefs d'oeuvre. Un western légendaire qui n'a rien perdu de sa violence, de sa fougue et de son pouvoir de fascination. Le western le plus virtuose, le plus beau jamais réalisé avec "Le Bon, la brute et le truand". Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse

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